Jun Ho &&' Mary

Le ciel bleu. Presque pas de nuages. Les oiseaux chantent. Le thermomètre affiche 24°C. Que peut-on demander de plus ? Que Jun Ho soit à l’heure à leur rendez-vous surement. Jun Ho & Mary s’étaient planifier une journée rien que tous les deux. Et le rendez-vous avait lieu à la fontaine dans un parc. Y a plus désagréable comme journée. N’est-ce pas ? C’est ce que Mary s’était dit en s’étirant dans son lit. Mais elle ne se doutait pas de tout ce qui l’attendait avant d’arriver à son rendez-vous avec le beau Jun Ho.

Elle s’était pourtant réveiller du pied droit. Et dès qu’elle entra dans la douche, tous ses malheurs commencèrent. Le shampooing sui lui vient dans les yeux. Le gel douche introuvable où elle ère dans toute la maison serviette de bain autour du corps à la recherche du gel douche. Non, mais je vous jure, une chasse au trésor. Après être sortit de la douche, la peau rouge à cause de l’eau trop chaude qu’elle n’avait pas réussi à réglée, elle partit s’habillait. Elle savait déjà comment elle allait s’habillait, elle y avait réfléchi dans la douche. Elle enfila une robe marinière avec une chemise blanche par-dessus serrée par une ceinture. ( tenue ). Elle partit dans la cuisine pour aller manger des tartines grillées comme à son habitude. Hors, son grille-pain avait lui aussi décider de se retourner contre lui aujourd’hui. Il avait tellement fait grillé ses tartines qu’elles étaient couleur noire charbon. Il était bien sûr obligatoire que Mary ne mange pas ça. Elle qui était habituée à la haute gastronomie, elle n’allait pas se réduire à ça. C’était un fin palais. Elle prit une pomme dans la corbeille à fruits, pas le temps de faire un grand petit déjeuné. Jun Ho lui achèterait surement quelque chose quand son ventre criera famine. Elle lui faisait confiance pour ça. Elle pouvait lui demander n’importe quoi, il le faisait. Ce n’est as magnifique ça ? Si, ça l’est. Un homme dévoué à vos côtés c’est… indescriptiblement plaisant. Et en plus, ce n’était pas le plus moche. Après avoir fait tout ce qu’elle avait à faire du style se coiffer, se maquiller et tout le tralala quotidien, elle était partit pour chercher un taxi qui la mènerait jusqu’au parc. Bien sûr, elle n’en trouver pas. Rue déserte. Ça aurait été trop simple. Dès que c’est une journée pourrie, elle ne l’est pas à moitié. Pourrie jusqu’au bout. Après vingt bonnes minutes d’attente et la détermination de Mary partie, un taxi se pointa. Elle sauta dedans heureuse de pouvoir s’assoir au lieu de rester debout sur ses hauts talons de dix centimètres. Installée dans le taxi, elle s’adressa au chauffeur.

« Bonjour. Le parc Namsan, s’il vous plait. »

Elle devait surement être tombée sur le seul taxi qui ne connaissait pas les rues de Séoul pour se perdre toutes les cinq minutes. Elle soupirait. Elle arriverait surement en retard. Ils s’étaient dis qu’ils seraient au point de rendez-vous à dix heures & demi & il était… dix heures & demi. Justement. Il en aura fallut du temps pour que le monsieur retrouve son chemin. Au moins, elle n’avait pas payer très cher vu le temps qu’il lui avait fait perdre. Il était onze heures moins cinq à sa montre.

Elle avançait vers cette fameuse fontaine où ils devaient de retrouvés. Enfin, elle courait plutôt. Quand elle l’eu aperçu, elle le vu au téléphone, le dos tourné. Elle avait eu une petite envie de lui faire peur, de le faire sursauté, comme une gamine dans la cour de récréation en primaire. Elle s’avançait à pas de loup dans son dos quand elle fut freiner par un « Tu me manques aussi. ». Qui pouvait bien lui manquait ? Le sourire qui était à présent sur le visage de Mary avait disparut d’un coup. D’un coup sec & bref. Elle fit le tour pour aller s’assoir à sa gauche.

« Je peux savoir qui te manques ? »

Demanda Mary en plongeant ses iris dans les siens sans même lui avoir dit bonjour avant.

« Salut Mary! Moi je vais bien, et toi?... »

Mais quelle belle phrase pleine de sarcasme. Bon, il faut dire que Mary et son arrivée pleine de politesse l’avait méritée. Mais il faut dire qu’il n’y avait que Mary & seulement Mary qui avait le droit de manquer à Jun Ho. Oui, c’était de la possessivité mais elle l’assumé entièrement. Et puis, elle savait très bien que Jun Ho était éperdument amoureux d’elle, il lui montrait bien. Alors il n’y avait qu’elle.

« Pourquoi veux-tu savoir ça? … »

Prise de cour. Et la seule chose qu’elle a pu répondre dans un bredouillis fut :

« Hein ? Ah. Euh… Non, pour rien. Juste comme ça. »

En réalité, ce n’était pas « juste comme ça ». Non. Mais la demoiselle préférait se voiler la face. Elle n’avouera jamais qu’elle n’est pas insensible à son charme. Jamais. Pourquoi ? Surement pour garder sa part de crédibilité. Elle qui aime faire la fille froide, au dessus de tout le monde, la petite fille parfaite qui se la pète sans même sans rendre compte. Elle pense même que c’est normal. Elle préfère être crainte que faire pitié. Bon, je m’éloigne un peu là.

« Non, sérieusement, c’était mon frère. Qui est à présent en Irak, je ne lui avais plus parlé depuis 4 mois… »

Non mais qu’est-ce qu’elle s’était imaginée là ? Pour tout avouer, elle avait pensé qu’il parlait à une fille. A une fille qu’il aime. Qu’il aimerait peut-être plus que Mary. Et ça, il n’a pas le droit. Il n’appartient qu’à elle. Oh mon dieu, je plains celui avec qui elle partagera sa vie. Imaginez que dès qu’il reçoit un coup de téléphone, elle lui saute dessus pour savoir qui c’est à l’autre bout de l’appareil. Le pauvre. Elle avait même imaginé pendant un petit moment qu’il disait ça à une fille rien que pour qu’elle l’entende, pour qu’elle soit jalouse. Quelle imagination elle a la petite Mary.

« Ton frère ? Ah, j’ai crû que… peu importe. On va se balader quelque part ? Ou tu préfère rester là ? »

Puis elle se dit qu’il allait forcément lui dire « comme tu veux » comme à chaque fois. Donc elle prit elle-même la décision.

« Bon, je choisis. Hum… J’ai envie de marcher. On se promène dans tout le parc ? »

Elle lui prit la main pour le soulever du banc sur lequel il était assis pour entreprendre la marche.