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 Choi Tae Joon ¤ Yesterday, all my troubles seemed so far away

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Choi Tae Joon
troisième année
Choi Tae Joon





















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♛ inscrit le : 27/12/2011
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ABRACADABRA
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MessageSujet: Choi Tae Joon ¤ Yesterday, all my troubles seemed so far away   Choi Tae Joon ¤ Yesterday, all my troubles seemed so far away EmptyDim 11 Mar - 20:55


choi tae joon
Choi Tae Joon ¤ Yesterday, all my troubles seemed so far away Tumblr_m02i29lheh1qfsx15o1_500
feat. Kim Myung Soo – L (INFINITE)

NOM:
CHOI.
PRÉNOM(S):
Tae Joon.
SURNOM(S):
Joonie.
DATE & LIEU DE NAISSANCE:
04/05 à Séoul.
ÂGE:
20 ans.
NATIONALITÉ:
Coréenne.
SEXUALITÉ:
Hétérosexuel.
STATUT:
Compliqué.
SUNSHINE AGENCY: votre statut par rapport à la S.A ?
[x] RIEN DU TOUT
[ ] SIMPLE EMPLOYÉ(E)
[ ] TRAINEE
[ ] IDOLE

ANNÉE:
[ ] AUCUNE
[ ] PREMIERE
[ ] DEUXIEME
[x] TROISIEME
[ ] QUATRIEME

OPTION:
[ ] AUCUNE
[ ] CHANT
[x] DANSE
[ ] THEATRE
[ ] MUSIQUE

CLAN:
[x] GRASSHOPPERS CLAN
[ ] ANTS PEOPLE

SITUATION FINANCIERE:
Plutôt aisée.
ELEMENT(S) A SIGNALER:
Il a tué quelqu’un ^.^ Just so y’know.
JOB D'ÉTUDIANT:
None.

tell me your story

Les clichés, c’est si facile. Il suffit d’en aligner quelques uns, et déjà les premières années de la vie de Tae Joon se dessinent. Quand Papa roule sur l’or, on naît nécessairement avec une cuillère d'argent entre les dents. Maman n’est pas souvent là ; elle voudrait bien pouponner, mais elle doit prendre le thé avec toutes les autres épouses des hautes sphères de la société. Peu importe, Nourrice n°189767 la remplace aux côtés du charmant bambin ; celui-ci se montre très tôt exigeant. Quand un jouet lui déplaît, il le brise en mille morceaux. Quand un plat lui déplaît, il en tapisse les murs du salon. Quand une personne lui déplaît, il s’assure que son renvoi tombe assez vite. C’est d’ailleurs pour cela que Nourrice n°189768 arrive bientôt pour prendre la place laissée par Nourrice n°189767 qui a rendu son tablier après avoir vu le petit mordre sa main droite jusqu’aux sangs. Ce soir-là, quand ses parents rentent, ils secouent la tête d’un air réprobateur, mais sont trop fatigués pour le réprimander ; ils haussent le épaules et tapotent la sienne, lui intimant d’aller se coucher. Puis ce menu incident les intéresse moins que la réception que les Park organisent pour le surlendemain. Et puis dans les mois, puis les années qui suivent, sans davantage les émouvoir, Nourrices n°189769, n°189770 (…) n°307087 se succèdent, mais ne restent jamais.

Les clichés, c’est si facile. Tous les 7 du mois, Tae Joon est conduit au salon principal pour parader devant les amis de Papa et Maman alors conviés à dîner. Parce que si tôt dans la journée, son costume de Petit Lord Faunlteroy paraît encore impeccable et parce que des précepteurs triés sur le volet se chargent de son éducation, on présume directement que voilà un garçon bien sous tous rapports. L’associé de Papa clame même qu’à n’en pas douter, le jeune homme a un avenir prometteur devant lui. D’ailleurs, vers quoi le petit Monsieur veut-il s’orienter ? Du haut de ses 12, 13, 14, 15 ans, songe-t-il déjà à une grande carrière dans le finances, ou ses goûts le portent-ils davantage à suivre les pas de son grand chirurgien de père ? Au fil du temps, ce cérémonial devient toujours plus pesant. Au départ, il ne s’agissait que d’un jeu de sourires dociles et faux lancés adressés au hasard. Mais désormais, on le retient dans d’interminables conversations sérieuses, des conversations répugnantes d’adultes afin de discuter de son futur et de le faire entrer dans un moule dont il ne veut pas. Ses parents ne s’intéressent jamais qu’eux apparences soignées et policées, et leurs amis se laissent si aisément tromper. Et lui… lui voudrait montrer au monde le vrai lui ; lui qui n’a pas la moindre idée de ce qu’il veut faire plus tard, lui qui a ses imperfections, lui qui est allergique aux épinards. Lui qui aime la danse.

Les clichés, c’est si facile. Alors au lieu de se libérer de tout stéréotype, il choisit de se conformer à un autre. De « parfait fils à papa », il devient « gosse de riches révolté ».Il se laisse pousser les cheveux, les teint même. Ses jeans se parent de trous au niveau des genoux, et les pans de sa chemise sont toujours froissés. Il cultive le savamment dépareillé pour choquer, pour provoquer. Désormais, quand ils rentrent de leurs soirées huppées, Papa et Maman ne lui tapotent plus négligemment l’épaule, mais le considèrent avec des yeux médusés. Un jour, l’un d’eux se risque à une remarque ; Tae Joon se contente d’hausser les épaules et de lâcher un « vieux con. » A l’école, les heures de colle commencent à pleuvoir ; il se résout alors à sécher, passant ses journées de café en café, ses cheveux devant les yeux, une clope à la main. Puis le reste de l’attirail de rebelle pourri gâté suit naturellement : soirées arrosées, recherche d’adrénaline, expériences en tous genres. Il se doute qu’il en fait un peu trop ; mais lui, il veut juste s’amuser.

* * *
Mais la réalité finit toujours par vous rattraper. Les rôles de composition sont bien beaux ; mais l’abruti qui disait que le monde était un théâtre s’est fourré le doigt dans l’œil. Et bien profond. On ne traverse pas la vie comme on évolue sur une scène. Tout n’est pas fiction, et quand un drame se produit, un tomber de rideau ne suffit pas à l’annuler.

Mais la réalité finit toujours par vous rattraper. Pour Tae Joon, ladite réalité prend la forme d’un platane, heurté à 143 km/heure, au volant d’une voiture de sport dont il a volé à Papa. Ce qui est drôle, c’est que lui s’en sort presque indemne. Quelques contusions, un bras momentanément dans le plâtre. Rien d’agréable… Mais au moins, il vit encore. On ne peut pas en dire autant de celui qui, dans le véhicule était assis à ses côtés. Pour lui, les secours d’ont rien pu faire ; de lui, il ne reste plus que son sang répandu sur le pare-brise explosé et les sièges avant. Sang Chul hyung vivait dangereusement ; il conduisait trop rapidement, buvait plus de verres qu’il ne pouvait en compter, ne faisait à attention à rien, ni à personne. Tae Joon vivait tout aussi dangereusement ; il conduisait trop rapidement, buvait plus de verres qu’il ne pouvait en compter, ne faisait à attention à rien, ni à personne. Mais l’un est mort et l’autre vit.

Mais la réalité finit toujours pas vous rattraper. Alors on essaie de s’arranger avec elle. On clame haut et fort « plus jamais ça » et on met un point d’honneur à compenser les excès passés par de nouveaux élans de prudence et de sagesse. Tae Joon réarrange son col de chemise et reprend le chemin de l’école pour achever sa dernière année de lycée ; il obtient son diplôme. Et quand ses parents viennent le féliciter, il leur tombe dans les bras et pleure comme un bébé. Toutes les réceptions de bienfaisance, tous les dîners cérémonieux où on le convie… il s’y rend sans broncher. Quand les discussions barbantes reprennent, il se contente d’hocher la tête. Parfois, l’envie de tout envoyer balader le reprend, mais il lui faut l’étouffer dans l’œuf. Il s’arme peu à peu de patience, et sa mine renfrognée d’autrefois laisse place à une expression serviable et courtoise.

* * *
Changer du tout au tout ne signifie pas pour autant ne se souvenir de rien. Au départ, Tae Joon voudrait pourtant oublier – parfois, il y a ces cauchemars qui viennent le trouver dans son sommeil. Ces scènes en noir et blanc où seules des tâches rouges tranchent – le sang. Il s’éveille en sursaut. Dans ces moments, seule la danse parvient à l’apaiser. Il se rend à Kirin alors que l’aube grise enveloppe encore la ville, enchaîne les mouvements vifs et précis– il exorcise comme il peut. Des chorégraphies voient le jour et dissipent un peu les ténèbres de ses remords. C’est d’ailleurs après une semaine passée à cauchemarder que le jeune homme s’est décidé à passer les auditions de l’école. Après l’accident, Tae Joon restait terré dans sa chambre, se forçant tant bien que mal à aller en cours, vivotant le reste du temps. Il n’en pouvait plus de passer ses journées à broyer du noir. Alors il est monté sur les planches, se consumant dans la lumière des projecteurs à défaut d’en trouver une autre, allumant l’enthousiasme du jury.

Changer du tout au tout ne signifie pas pour autant ne se souvenir de rien. Mais l’obscurité l’entoure encore ; sa mauvaise conscience s’offre comme un gouffre béant au bord duquel il avance tant bien que mal, risquant toujours une nouvelle chute. Et certains jours, la musique ne suffit pas. Alors il va la voir – elle. Hye Jin. C’est bête à avouer, mais Tae Joon l’a toujours admirée de loin, ne s’étant jamais guéri de ce béguin juvénile. Quand il n’avait pas encore commencé sa première année de lycée que celle-ci entamait déjà sa troisième à l’université. D’ailleurs, elle n’a jamais pu l’achever ; Sang Chul hyung et elle ont interrompu leurs études en cours de route. Parce qu’ils attendaient un bébé. Tsst. C’est mal, n’est-ce pas… de loucher sur la femme du meilleur ami que l’on a tué. Tae Joon ne comptait d’ailleurs pas le faire. Mais à la voir si seule et si détruite, leur gosse sur les bras, aux funérailles de son Hyung… il n’a pas pu s’en empêcher. Au début, il ne s’agissait que de menus services – une heure de baby-sitting par-ci, des courses faites par-là. Puis peu à peu, c’est tout son temps libre qu’il est venu à passer auprès de cette famille qu’il a brisée.

Changer du tout au tout ne signifie pas pour autant ne se souvenir de rien. Les douleurs qui lancent parfois son épaule gauche le lui rappellent souvent. L’accident est là, inscrit dans sa chair. Par moments, ses jambes semblent le lâcher; esquisser le moindre pas lui paraît impossible – comme si le drame le rattrapait et faisait s’effondrer ce qui lui restait. Cela passe le plus souvent ; et effrayé, il se ressaisit et danse jusqu’à l’épuisement.


what's about you

De sa rébellion d’autrefois, Tae Joon ne garde que sa chevelure souvent en bataille. Le reste de son apparence étincelle de correction ; ses vêtements sont toujours fraîchement repassés et bien taillé, sa veste tombant toujours parfaitement sur ses épaules droites. Ses gestes sont toujours mesurés, sa démarche assurée. Le sourire qui s’étire sur ses lèvres fines ne se fait que l’écho de tout cela – poli et policé. Mais derrière les apparences, se cache davantage qu’un bon garçon courtois et avenant. Ses yeux le trahissent parfois ; une étrange lueur s’y allume de temps à autre, en particulier lorsqu’il danse, lorsque ses pas résonnent sur le parquet de la salle, ou même lorsque tout simplement, un geste l’arrête et le fascine. Cette étincelle… à raison, certains la nomment passion ; d’autres, détermination. En effet, lorsque les prunelles du jeune homme brillent ainsi, rien ne semble pouvoir l’arrêter, ni tarir ses efforts. Que cela concerne la danse ou la vie en général, si Tae Joon veut quelque chose, il l’obtient. Peu importe le nombre d’heures qu’il devra y sacrifier. Les « non » le satisfont rarement ; et c’est sans doute là un de ses défauts majeurs. Hye Jin le lui rappelle souvent ; il s’acharne trop – quitte à faire mal, quitte à se faire mal. Quand une idée lui vient en tête, on l’en déloge difficilement ; Tae Joon oublie difficilement. Cette mémoire s’avère parfois trop lourde. Le jeune homme a en effet la rancœur facile et le pardon rare. Une fois que l’on a perdu sa confiance, on ne la retrouve sans doute jamais. Cette sévérité, il l’applique à son propre égard : ses fautes passées lui causent encore d’indicibles remords – il s’en veut et se surveille plus que quiconque, trop effrayé des bévues dont il est capable. Malgré tout, quand les jeux sont faits, le jeune homme sait aussi la défaite : il a déjà expérimenté là où pousser ses limites le mener et ne veut plus jamais retomber dans de tels excès. C’est pour cela qu’il tend à éviter les querelles et toutes situations qui peuvent mener à de la violence. Si il lui arrive de se battra, c’est le plus souvent avec des mots. Les poings ne viennent jamais qu’en dernier recours pour protéger ce qu’il estime le plus au monde : ses proches. Tae Joon ne révère rien tant que l’amitié – son sentiment de culpabilité joue peut-être un trop grand rôle dans les attentions qu’il a pour les uns et les autres, dans l’attitude grand frère bienveillant qu’il adopte si aisément. Mais quand il aime, Tae Joon est sincère et se donne sans compter ; seule sa peur de blesser à nouveau peut le retenir.


behind the screen

PSEUDO//PRÉNOM:
Abby.
ÂGE:
20 ans.
PAYS:
France.
PRÉSENCE:
5-6/7
DÉCOUVERTE DU FORUM:
Mwaha.
CODE REGLEMENT:
autovalidation.
COMMENTAIRE(S) ?:
Vous m’aimez, dites pas le contraire..


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Hwang Ah Na
séoulite
Hwang Ah Na





















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MessageSujet: Re: Choi Tae Joon ¤ Yesterday, all my troubles seemed so far away   Choi Tae Joon ¤ Yesterday, all my troubles seemed so far away EmptyDim 11 Mar - 20:57

REBIENVENUE !!! L *o*
Il nous faudra un lien obligé ♥
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