[\!/ HOT \!/] Alcohol is bad ... really ? [Feat. Jun Ho]

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« Jun Ho || Sung Rin »

Alcohol is bad ... really ?

La joue machinalement posée sur la table, je regardais un point invisible sur le sol, n'écoutant qu'à moitié ce que disais le prof. Pas que cela n'était pas intéressant non, pas du tout...Enfaite si, ça n'intéressait strictement personne, et même si le prof le voyait bien, il continuait de nous raconter la vie de Mozart. Pour le moment, la seule chose que j'avais retenu de lui, c'était son origine allemande. Après tout, j'aimais apprendre des choses sur des personnes aussi importante que Mozart mais là, non. On apprend rien sur sa musique ; il est en train de nous raconter sa vie à Mozart. Qu'est ce que l'on s'en fiche nous de savoir combien il a eu de femmes ou d'enfants. Ça ne change pas grand chose à notre culture générale sur la musique. Bref, je m'ennuyais à mourir et je sortis alors une feuille blanche vierge, dessinant dessus. Au bout de quelques secondes à peine, je laissa tomber brutalement mon stylo sur la table, m'appuyant contre le dossier de la chaise en soupirant d'ennui. Je jeta un coup d'œil à mes camarades qui soit dormaient à moitié, soit parlaient doucement entre eux. Je soupire de lassitude avant de relever la tête dans une veine tentative de ne pas m'endormir. Mais à peine j'eus croisé le regard du prof qui me regardait avec l'espoir que je sois intéressé, ma tête retomba de nouveau sur ma table avec autant de classe qu'un éléphant.

« Et donc, mardi prochaine, un contrôle sur Mozart et sa vie de 2 heures sur table aura lieu. Réviser bien vos notes. »

Relevant la tête en même temps que toutes les autres personnes présentes dans la salle, je lâcha un grand ''HEIN?'' qui retentit dans toute la salle de cours. Mais heureusement pour moi, le prof n'y fit pas attention, trop occupé à calmer le reste de la classe en nous menaçant de faire le test avec des informations qu'il ne nous avait pas donné. Je ferma le bouche de suite, ne laissant plus aucuns mots sortirent, comme tous mes camarades. La vie de Mozart pour moi, c'était le néant. Rien. Niette. Et je n'avais pris aucune note. Heureusement que internet existe hein mais bon j'aurais peut être du écouté un petit peu en fin de compte. Paumé, je regarda à droite à gauche pour trouver de l'aide, mais en croisant les regards de mes compatriotes, je ne trouva que l'affolement ou de l'étonnement. Bref, on était tous dans le caca. La sonnerie retentit bruyamment et une fois que le prof eut finit d'expliquer je ne sais quoi sur le contrôle, on se dépêcha de tous sortir précipitamment, voulant quitter cet enfer le plus rapidement possible. Je sursauta en sentant mon portable vibrer dans me poche et je fis signe à mes amis de continuer sans moi. Je sortis mon portable et un sourire vint se plaqué sur mes lèvres en voyant l'expéditeur.

► 1 nouveau message de Juninie ♥
Reçu le 31/10/2011 à 17:00 AM

« Rendez-vous dans la salle abandonnée de rattrapage après les cours à 18H30. J'apporte une surprise ~
JunHo »

Je souris doucement, pensant que cette dernière heure de cours allait plus qu'être longue. Je repris le chemin, trottinant pour ne pas arriver en retard en cours d'anglais. Une fois arrivée, je m'assis à côté d'une de mes amie, lui souriant gentiment. Lorsque le cours commença, je me concentra, mordillant mon crayon. Mais je ne pouvais m'empêcher de penser à la surprise de Jun Ho. Le connaissant, ce sera quelque chose qui ressemble à de l'alcool. Je le connais si bien. La dernière heure de cours passa assez lentement pour une fois, et une fois que le sonnerie retentit une nouvelle fois j'indiquai à tout le monde de partir sans moi. Je partis alors en direction du lieu de rendez vous avec Juninie, c'est à dire la salle de rattrapage. Souriant bêtement, je rentra dans la salle, vide. Je sortis mon portable pour regarder l'heure. Il était 18H20, donc Jun n'était pas en retard, c'était moi qui était en avance. Je m'assis sur une table, sortant mon Ipod. Je mis mes écouteurs, fermant les yeux et soupirant d'aise en entendant une de mes chansons préférés. Je rouvris les yeux doucement, et enleva mes écouteurs lorsque la portes s'ouvrit sur Jun Ho. Je lui souris, rangeant mon Ipod dans mon sac ainsi que mon portable. Je me releva, m'approchant de Jun. Mes yeux se posèrent sur les packs de bières et je souris encore plus.

« Hey Juninie. »

Dernière édition par Park Sung Rin le Jeu 3 Nov - 21:42, édité 1 fois

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Ma journée avait été bien longue et haute en gros coups de gueules, oui, encore une fois, je m’étais fait rembarrer du cours d’histoire, évidemment, je le retenais avec son ignoble moumoute.. Mais bon, tant pis, quitte à être renvoyé du cours, j’en avais profité pour me rendre dans le jardin et m’y reposer le temps que mon cours suivant arrive. Sombrant dans un sommeil presque profond, malgré ma mon Ipod dans les oreilles. Je ne fus pas réveillé normalement, non, ce fut une éducatrice, assez sexy la femme, faut l’avouer, qui me réveillais. Je retirais mes écouteurs et la regardais, lâchant un faible « Oui? Je peux vous aider? » Elle parut désorientée, perdue. A voir comment elle me demandait où se trouvais le bureau du directeur, je fus sûr que, finalement, il ne s’agissait pas d’une surveillante ou d’une éducatrice. Je me levais et lui souris. « Le bureau du directeur? Il est par là » Je pointais du doigt l’entrée principale qui donnait presque directement sur le couloir adjacent au bureau. « Je vais vous y conduire, si vous voulez » Elle acquiesça et me suivit jusqu’au bureau. Elle paraissait fort jeune.. Donc déjà, on peut barrer le fait que ce soit une parent d’élève, elle est trop canon que pour dire qu’elle soit la femme du Directeur, puis, je l’avais vue, sa femme, et c’est loin d’être la même chose.. Bref, je lui présentai la porte et lui souris, et là, la femme fit une chose inattendue. Elle me tendit une de ses cartes. Et ce fut là que je vis son nom. Mon expression fut telle qu’elle rit et entra dans le bureau. Cette fille n’était qu’autre que la fille du directeur. Je me mis à rire tout seul. « Je rêve ou je viens de fantasmer sur la fille du directeur! » Un fou rire nerveux me pris et je repartis dans le jardin, n’y croyant pas mes yeux. Je pris mon iPhone et y regardais l’heure, « Ouai, bon, il serait peut-être temps que j’aille me changer pour mon cours de danse. » Et c’Est-ce que je fis, je repartis dans ma chambre, pris une douche et chopa un de mes débardeurs ainsi qu’un pantalon de danse simple, style Hip Hop, car cette session de danse sera « extrêmement longue et difficile », à ce qu’avais dit notre professeur, pour que l’on se prépare à vraiment travailler. Evidemment, tout le monde avais crié un grand « OK! », mais je suis sûr qu’il y en aura bien plus de la moitié qui ne suivront pas, comme d’habitude. J’arrivais en avance dans la salle, ce qui me permit de m’étirer et de m’échauffer seul, comme il le faut.

Mon assiduité épatait ma prof de danse, car, à chaque cours, j’étais là, échauffé, étiré et prêt à faire tout ce qu’elle demandait. « Hé bien, encore une fois, tu m’épates, Jun ho… tu es toujours là à l’heure, et prêt en plus, ça fait plaisir d’avoir au moins un élève comme toi, tu sais. » Oui, elle me tutoie, et alors ? On peut dire que je suis en bonne relation avec cette prof, et puis, elle est sympa.. Et jeune, surtout. Moi, bien sûr, je la tutoie aussi, c’est une demande qu’elle m’avait faite une fois, lorsque je l’avais aidée à ranger la salle. Alors j’obéis. « Oui, je sais, tu me répètes ça tout les jours, j’aime ce cours, c’est le seul, avec le chant, que je suis à fond.. » C’était grâce a elle que j’étais passé en 2ème, malgré les réticences des autres professeurs, entre autre, celui d’histoire, qui, entre autres, depuis le premier cours, ne m’appréciais pas, chose que je ne lui reprochais pas, c’est réciproque. Et donc, je lui dois beaucoup. Les autres arrivèrent enfin, et je pu remarquer les quelques regards se poser encore sur moi, j’aimais ça, le fait de savoir que les filles ne restent pas indifférentes face à moi. Je sais, la modestie m’étouffe, mais, si on ne s’aime pas un minimum, comment peut-t-on aimer les autres?

Une fois tout le monde prêt, nous commencions le cours et comme ce que je me disais quelques minutes auparavant, un bon nombre de personnes n’avaient pas travaillé la chorégraphie que nous avions commencé le cours précédent. Et donc, regardaient la prof avec des expressions béates. « Babo » me dis-je en m’appuyant contre le mur, les regardant revoir la danse avec la prof. Un des élèves me regardait et dit tout haut « Hé! Pourquoi il fait rien lui, là bas?! » La prof répondit directement, apparemment exaspérée : « Car lui, m’a écouté et à travailler sur la chorégraphie du cours passé! Comparé a vous tous qui, comme d’habitude, qui n’avez rien foutu et reviennent ici, votre expression idiote sur le visage! » Favoritisme? Non, jamais (a). Le gars soupira et ne répondis rien, se remettant en place pour revoir la danse. Me regardant, la prof sourit : « Junho, vu que tu connais la choré, je pense que tu n’es pas obligé de resté, vu qu’on vas devoir revoir tout. Tu peux y aller » Je souris, cette prof est vraiment cool.. Je pris mes affaires et quitta la salle pour me rendre dans ma chambre, ou je pris une douche et me changea à nouveau. Je jetai à nouveau un petit coup d’œil à l’heure; 16h58. Et allez savoir pourquoi, mais précisément à ce moment là je pensais a Sung rin. Un grand sourire pris place sur les lèvres et je lui envoyai un sms pour que l’on se voie après le cours, car cela faisait assez longtemps que nous ne nous étions plus retrouvés tout les deux. C’était donc une occ asion idéale que pour remédier à ça. Une fois le texto envoyé, je sortis de l’école pour faire quelques courses pour ce soir, je pris surtout des packs de bière, me rappelant de l’amour de SungRin pour ce délicieux breuvage semi-pétillant, et surtout parce qu’une soirée réussie est une soirée avec bière, et ça, je ne le savais que très bien. Bon sur moi, l’alcool n’a pas un très bon effet, il crée chez moi des pulsions sexuelles inimaginables et presque incontrôlables. A forte dose, précisons-le. Je me rappelais très bien de la manière dont une soirée hautement arrosée s’était terminée, il y a de ça 2 semaines.. Ouah, rien que d’y repenser ça m’en donne des frissons.

Je rentrais à l’école qu’il était 18h25, pile au moment ou le surveillant principal commence à fermer les portes de Kirin, je me dépêchai et entrais vite fait. Ma montre indiquais pile 18h29 quand je pressai la poignée de la porte de la classe de rattrapages, je souris quand je vis Sungrin, assise sur une table à m’attendre, elle est toujours là quand on en à besoin, et ça, c’est une de ses nombreuses qualités. Entre autres… Je m’avançais vers elle, posant les deux packs de bières qui étaient passés inaperçu, même pour le surveillant, trop pressé de fermer les barrières et de rentrer chez lui. Je pris doucement Sungrin dans mes bras, souriant toujours autant. J’aimais le petit surnom qu’elle m’avait trouvé durant nos longues soirées de jeux.. Jeux assez spéciaux avouons-le, mais c’étais nos jeux à nous, notre façon débile de s’amuser. Je m’écartai d’elle et la contempla, qu’elle était belle, magnifique même. Chanceux ? Oui, je le suis, et ça, tout le monde me l’envie. Pourquoi je ne sors pas avec elle? Pour la pure et simple raison que je tiens trop à elle que pour imaginer ne serais-ce qu’un jour briser notre si belle… amitié? Si on peut appeler ça comme ça. Nous deux, c’est bien plus que de l’amitié. Je caressai doucement sa joue et lui souris. « Comment ça va, ma belle ? Ça fait un bail. N’est-ce pas? » .. Oui, la dernière fois où l’on s’étais retrouvés tout les deux fut à la dernière soirée de l’école, ou nous avions quitter les festivités, pour venir ici, justement, notre endroit habituel de rendez-vous, tels qu’ils soient. Je laissai glisser ma main jusqu’à son cou puis la retira, souriant.

« Ce contact me manquais.. Et me manque toujours. »

Oui, notre relation est de ce que l’on peut qualifié de spéciale.

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Souriant en voyant Jun entrer, je me leva, la saluant doucement. Il s'approcha de moi, et je souris encore plus en voyant les packs de bières. Je m'approcha à mon tour et il me prit dans ses bras dans un étreinte trop courte à mon gout. Une fois notre étreinte terminé, on se sourit doucement. « Comment ça va, ma belle ? Ça fait un bail. N’est-ce pas? » Hochant le tête positivement, je lui souris gentiment, totalement d'accord. Ça faisait même trop longtemps. "Plus que longtemps." Je ris doucement, mettant ma main devant ma bouche par pure politesse. Même si je savais très bien qu'entre nous, il n'y avait pas ce genre de chose, mais chasser le naturel et il revient au galop hein ? Je ferma les yeux lorsque je sentis sa main descendre dans mon cou dans un bref effleurement. Je frissonna puis rouvris les yeux, le regardant fixement dans les siens. « Ce contact me manquais.. Et me manque toujours. » J'ouvris doucement la bouche, fixant les lèvres de mon ami. Oh oui, j'avais chaud et notre proximité ne faisait qu'amplifier cette sensation.

J'hocha une nouvelle fois la tête, encore d'accord avec lui. Si quelqu'un nous voyait, il croirait surement qu'on est en couple alors que pas du tout. On a une amitié spéciale, à nous. Pourquoi ne pas sortir avec lui ? Je ne sais pas vraiment, pour le moment, il est un très bon ami, voir plus, mais petit ami...Je ne sais pas si je pourrais m'y faire. Je vois bien Jun avec pleins de filles à ses pieds, avec énormément de conquêtes. Il ne faut pas se mentir, il est beau, bien foutu, charmeur, gentil et poli. A notre âge, c'est l'homme qu'on veut toute, ou qu'on rêve d'avoir. Le genre beau gosse populaire que tout le monde envie. Jun Ho est vu comme ça par beaucoup de filles ici je pense. Mais pour moi, c'est avant tout un des seuls hommes qui arrive à me faire sourire et à rentrer dans ma vie si facilement. Je lui souris, prenant un pack de bières et le posant sur la table, et Jun fit de même. J'en ouvris un, et pris une boisson pétillante alcoolisée. Une fois que min "ami" eut fait de même, je leva ma canette, trinquant avec Jun pour je ne sais quoi. "A nous ?" Je pouffa doucement et bus une gorgée, fermant les yeux en sentant le liquide couler dans ma gorge.

Lorsque je rouvris une nouvelle fois les yeux, je croisa le regard noir et profond de Jun Ho. Je lui souris en lui faisant un petit clin d'œil et finit ma bière, cul sec. Je repris une boisson, souriant en voyant Jun faire de même. Je me rassise sur une table, faisant signe à mon ami de s'approcher plus près de moi. Je lui souris tendrement et finit ma deuxième bière tout en toussant un peu, ayant bu trop vite. "Bonne journée ?" Je m'étira, repensant à la mienne, soupirant de lassitude. Qu'est ce que ça avait été long. D'abords l'autre avec son Mozart et sa vie pas du tout intéressante pour nous, étudient en MUSIQUE et pas en VIE DE FAMILLE. Je soupira un grand coup, souriant gentiment à Jun.

"Désolé, mauvais souvenir de cours." Jun me sourit tout en s'approchant de moi. On se retrouve à quelques centimètres l'un de l'autre et je repris une boisson, déjà dans l'état de ce que l'on pourrait appelé de "pompette". Il me répondit, me décrivant en quelques mots sa journée. Je lui souris, finissant ma troisième bières consécutives. Je sentais déjà ma tête tourner, mais je me resservis. Je savais pourtant que je ne tenais pas du tout l'alcool, mais j'en avais besoin et envie. Ouvrant la canette, je releva les yeux, croisant ceux de Jun. Je me mordis doucement les lèvres, le trouvant soudainement très...attirant. Je passa ma langue sur mes lèvres et avala ma salive en déglutissant, ma gorge soudainement sèche. Étant que à quelques centimètres l'un de l'autre, nos deux corps de touchaient presque. Les yeux dans les yeux, je reposa la bière, et Jun se rapprocha doucement, me fixant toujours dans les yeux. Je passa mes jambes autour de ses hanches. Nos deux visages de retrouvèrent l'un en face de l'autre. "J'ai bizarrement...chaud Juninie..." Oh oui, j'avais chaud. Et notre proximité ne faisait qu'amplifier cette sensation.

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Il est vrai que cela ne faisait que depuis le début de cette année que nous nous connaissions, mais, en très peu de temps nous avions développé une relation très.. Forte, spéciale. Unique, surtout. C’était une des filles qui comptait le plus pour moi, pour laquelle je me dévouerais corps… et corps.. Oui, ce qui est bien, c’est que notre relation est en partie basée sur le physique. Enfin, ça depuis quelques semaines surtout. Depuis LA soirée. La fameuse soirée où l’on avais finis tous morts bourrés. Je souris lorsque je la vis fermer les yeux doucement quand je caressais sa peau. Sa si douce peau.. C’est une chose pour laquelle je me pose beaucoup de question; Comment se fait-il que les filles ont la peau si douce ? C’est invraisemblable. De toutes les peaux que t’ai pu toucher et sentir, celle de Sungrin était, et de loin, la plus merveilleuse. La femme, son corps et son fonctionnement seront toujours une source de questions pour moi. En plus d’être une très belle femme, très sexy et tout ce qui vas avec, Sungrin avais aussi ce petit air mignon, qu’elle pouvait avoir, comme lorsqu’elle rit, doucement, cachant une partie de sa bouche avec sa main. Si mignonne et sexy à la fois, c’en est déconcertant. Quand elle rouvrit ses yeux et qu’ils croisèrent les mien, un petit frisson, très faible, mais présent parcouru ma colonne vertébrale. Oui, Sungrin était une des 3 seules filles qui pouvait me faire un effet pareil. Quand j’eu prononcé mes paroles, elle me regarda, toujours dans les yeux. Elle ouvrit la bouche, légèrement, mais cela suffit à me faire frissonner, elle était si près de moi que je pus sentir son souffle sur mon visage.

Un groupe de jeune passa dans le couloir, mais parurent ne pas nous remarquer, tant mieux. Non pas que savoir que l’on me voit en compagnie de Sungrin, bien loin de là, mais que, par exemple, une personne mal attentionnée aie prévenir un des surveillant ou même le directeur. Et ça, il ne fallait pas que ça arrive. Nous étions trop bien que pour quelqu’un vienne gâcher cette jolie soirée improvisée. Qui allait, sûrement, encore une fois, très bien finir. Cela pouvait être une certitude. Je la lâchais et elle partit en direction de la table où j’avais préalablement posé les packs de bière. Elle ouvrit le pack de bière se trouvant en face d’elle et je fis de même pour celui devant moi. On sortit en même temps chacun une canette, on l’ouvrit en même temps et nous levions nos canettes pour trinquer. Elle sourit, me regarda dans les yeux et dit « A nous? » Je cognai doucement sa canette à la mienne et je fini ma bière en une gorgée. Oui, j’avais soif, et puis, il faisait atrocement chaud dans cette pièce. Ou alors, cette sensation n’est autre que la réaction de nos deux corps.. Si loin mais pourtant si proche en même temps, son corps paraissant appeler le mien.

« Oui, à nous, à nos… retrouvailles ? Même si il n’y a jamais vraiment eu de séparation.. »

Je ris et posa ma cannette vide sur la table. Elle rouvrit les yeux, croisant son regard avec le mien. Il s’accrochèrent pour ne plus se lâcher. On repris mutuellement une canette et je vis Sungari sourire, encore, de son si beau sourire. Elle partit se rasseoir sur une des tables, près du mur du fond, je souris a son clin d’œil, et suivis son geste, qui m’indiquait de la suivre. Encore un magnifique tendre sourire. Vraiment, si jamais quelqu’un nous voyais, on pourrait être sûr qu’on nous prenne pour un couple. Cela n’aurait pas été la première fois. On m’avait déjà posé la question pour savoir si je sortais avec Sungrin. Platement, un petit sourire aux lèvres, j’avais répondu que non. Et tout mes potes n’y crurent pas un mot, aussi, j’avais dis qu’un mot, ils n’auraient pas en croire plus. Puis j’étais simplement parti dans la direction opposée. Je bu une nouvelle gorgée de ma canette, elle, fit de même, en la finissant, toussant légèrement, ce qui me fit esquisser un sourire. Rien à faire, même quand elle tousse, elle est cute, c’Est-ce que je me dis, laissant mes yeux gravés sur elle. « Bonne Journée? » Me demanda-t-elle en s’étirant et en soupirant, apparemment, la sienne n’avait pas été très bonne.. Elle re-soupira, plus fort cette fois, puis me souris, me disant qu’elle se rappelait juste d’un mauvais cours. Finissant ma 3ème bière, je me rapprochais d’elle. « Oh, moi, ma journée ne fut pas très différente que d’habitude… » J’avais vraiment autre chose à faire que de parler de ma vie.. Là. Surtout quand on est en compagnie d’une si jolie jeune femme. On se retrouva alors qu’a quelques centimètres l’un de l’autre. Je sentis encore une fois son merveilleux parfum venir titiller mes narines, réagissant extrêmement bien à cette douce odeur.

Elle finit à son tour sa 3ème bière et se resservit, me faisant encore un très joli sourire. Je reposai ce qui restait de sa 4ème, à savoir, le fond, et me rapprochai encore plus de Sungrin. Oui, je commençais déjà à sentir les effets de l’alcool me monter à la tête, mais peu importe, j’étais là pour passer une soirée détendue avec elle. Je ne me soucie plus de rien jusqu’à demain. Elle ouvrit sa prochaine canette, moi, toujours aussi près d’elle, respirant son parfum, elle reporta son regard sur moi, qui se fixa pour ne plus s’en défaire. Posant sa bière sur la table, elle entoura ma taille de ses jambes, ce qui me fit rapprocher encore plus. Je ne fus, bien évidement, pas insensible a se soudain rapprochement, elle non plus apparemment. Elle se mordit les lèvres, ses yeux toujours encrés dans les miens. En ce moment précis, je me rendis compte que nous étions en parfaite communion. Elle me regarda toujours et me dit, que bizarrement, elle avait chaud. Je souris. La regardant encore et toujours dans les yeux, je remonta mes mains à ses épaules, lui faisant glisser sa veste doucement, passant délicatement mes mains sur ses bras, comme des caresses. Le fait de lui enlever sa veste laissa apparaitre un très joli corps, dont j’avais déjà eu l’occasion de voir. Mais, jamais de si près, si je me rappelle bien. « Je partage ça.. Il fait, spécialement chaud, dans cette classe. Ce soir » Je remontai une de mes mains, qui vint se loger sur son visage. Je fixais toujours ses yeux et je rapprochais de plus en plus mon visage du sien, sentant de plus en plus son souffle chaud contre mes lèvres légèrement entre-ouvertes. Elles n’attendaient que ça. Je posai alors doucement mes lèvres contre les siennes, pour y sceller un doux baiser. Les yeux fermés, le précédent frisson dans la colonne vertébrale se manifestais de nouveau, plus violent, cette fois. La douceur de ses lèvres fut telle que j’eu l’impression d’embrasser un ange. Mon autres mains allai se placer machinalement sur sa cuisse.
Comment est-ce possible d’être si parfaite?

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J'avais extrêmement chaud et je ne savais pas si c'était la température qui avait inexorablement augmenté ou moi qui était toute émoustillé, mais si j'avais pu, j'aurais bien pris une douche là tout de suite maintenant. Ce n'était pas ma faute, je n'étais pas la seule fautive ; Jun était bien trop près pour mon bien et le sien. Je ne vais pas vous cacher qu'en ce moment même je n'avais qu'une seule envie ; l'embrasser. Et c'est ce que je compte bien faire. Refouler trop longtemps ses envies les fait intervenir au moment où on s'y attend le moins. On a déjà fait cette expérience avec Jun Ho, on a bu et notre désir l'un pour l'autre a éclater d'un seul coup et on a couché ensemble. Je ne regrette pas même si au début je me suis dis que c'était mal, que j'étais âgé de trois ans de plus que lui et étais donc sa "noona". Mais bien vite, j'ai remplacé cette pensée par celle que je ne peux plus me passer de lui. On m'a déjà demandé si l'on sortait ensemble. J'ai bien sur répondu non, entre nous ce n'est que du corporel et du sexe pour le moment. Je n'y est jamais vraiment pensé, j'aime notre relation comme elle est. Et si ça ne plait pas aux autres, et bien tant pis pour eux, qu'ils aillent se faire voir ailleurs. Je me sentais bien comme ça, dans ses bras, et sans n'avoir aucunes responsabilités ou autres contraintes de couple. Pas que j'aie été beaucoup en couple, mais je sais bien comment cela se passe. Ayant encore soudainement plus chaud, et sentant déjà les effets de l'alcool me monter à la tête, j'indiquai à Jun que j'avais particulièrement chaud. Mes jambes enroulées autour de ses hanches, je ferma délicatement les yeux lorsqu'il glissa une nouvelle fois ses mains dans mon cou, m'enlevant doucement ma veste. Elles frôlèrent mes épaules puis mes bras, me donnant une multitude de frissons dans tout le corps. « Je partage ça.. Il fait, spécialement chaud, dans cette classe. Ce soir » Une de ses mains vint prendre place sur mon visage, et le sien se rapprocha rapidement du miens, me faisant haleter d'impatience. Il allait le faire, et j'en avait plus qu'envie ; c'était un besoin.

J'entrouvris la bouche et je sentis ses lèvres se poser docilement sur les miennes dans une douce caresse. Sa deuxième main vint machinalement se poser sur ma cuisse, et je passa mes bras autour de son cou, m'accrochant à ses cheveux à l'aide de mes mains. Le baiser ne dura que quelque secondes, et je gémis lorsqu'il retira ses lèvres. Reprenant mon souffle, de centaines de petits papillons vinrent s'installer dans le bas de mon ventre, rendant mon impatience plus que grande. Je m'agrippa à sa veste, et la lui retira assez brutalement, reprenant possession en même temps de ses lèvres si parfaits, si douces, si...virils. Je sentis ses mains s'installer au niveau de mes fesses et il me souleva, m'emmenant avec lui. Je me retrouva plaquée contre un mur, et je quitta sa bouche, lâchant un petit soupir d'aise. Dans cette position, je sentais très bien que je lui faisais de l'effet et pas du moindre sans me vanter. Mais abrutie et aveuglée par l'alcool, je n'y fis pas attention plus que ça, reposant mes pieds à terre. Une fois que je fus posée, je lui souris sadiquement. "C'est partit..." Je ne savais pas trop ce que je disais et je n'y faisais pas spécialement attention ; je m'en foutais complétement. Je le poussa brutalement par terre, et mission réussi, il tomba sur le dis, se rattrapant en se tenant sur les coudes. Je me mordis la lèvres inférieur et m'assis sur son bassin, endroit stratégique pour exciter un homme. Bougeant en mimant l'acte, Jun se releva en position assise mais je le repoussa, bougeant la tête de droite à gauche dans un non. Je lui souris, m'approchant de son oreille. Je souffla dessus puis la mordilla, profitant des frissons que je procurais à Jun Ho. "Je m'occupe de toi et rien que de toi babe..." Soufflant une dernière fois sur le point sensible, je partis à l'assaut de ses lèvres, les maltraitant en les mordillant, les léchant et les embrassant brutalement ou furtivement. Une plainte de mécontentement sortit de sa bouche et j'arrêtai mes mouvement de hanches sur sa virilité en un grand coup sec, me faisant fermer les yeux sous la sensation, de même pour Jun. J'attrapai les extrémités de son haut et le lui retira, ne voulant pas le déchirer ; on serait dans de beaux draps après. Je me remordis les lèvres en découvrant son torse musclé et parfaitement dessiné. Je passai mes mains dessus, retraçant chacun de ses pectoraux et autres. Je me baissa, passant ma langue sur son buste et torse si tentant, descendant petit à petit vers son aine.

Je posa légèrement les lèvres sur ce qui faisait de lui un homme et remonta ensuite, reprenant sa bouche entre la mienne. Nos langues se rencontrèrent, et je me retira, lui souriant de manière perverse et louche -à mon humble avis-. J'enleva son pantalon à l'aide de mes mains devenu très habiles pour ce genre de chose surtout sur lui et il m'aida à le descendre. Il se retrouva presque nu, avec pour seul tissu son boxer qui me semblait, ma foi, très tendu. Je m'approcha de nouveau de son oreille, doucement, parlant d'une voie sensuelle, et pris ses mains, les plaçant sur mes hanches puis ma poitrine. "A ton tour Juninie..." J'étais totalement déconnectée de la réalité, ne pensant pas au faite que nous étions dans une salle de cours, dans une école et que tout le monde pouvait nous voir ou même nous surprendre. Je n'ose même pas imaginer la tête su directeur ou d'un prof s'ils nous surprennent dans cette position, à moitié nu, et des packs de bières à trois quart vide à côté de nous. Oh, et puis qu'est ce que j'en ai à foutre qu'on nous prenne la main dans le sac.

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Etais-ce bien? De faire ça? Avec SungRin ou tous autres? Non je ne crois pas, mais; La barrière est tellement fine entre le bien et le mal.. Cette définition est si éphémère que je n’y accordais pas plus de deux secondes de réflexion, oubliant tout quand mon corps entra en contact avec celui de mon amie, étant comme emporté dans un autre monde, il n’y avait plus qu’elle et moi dans ces lieux, et des bières, bien sûr. Être là, si près d’elle provoquait chez moi une réaction tout à fait normale pour tout homme. Surtout que l’alcool qui parcourait maintenant mes veines n’arrangeait rien. Pris d’une soudaine pulsion, lorsqu’elle m’arracha presque ma veste, la faisant voler à terre. Je la portai violement contre moi, profitant du fait qu’elle ait ses jambes autour de ma taille pour l’emporter contre le mur le plus proche, prolongeant d’une façon plus ardue le baiser. L’avoir comme ça, littéralement colée à moi accentua la pression précédemment présente sous la ceinture, oh et puis m*rde hein, je suis un homme, bien foutu, on peut l’avouer, qui a des réactions tout à fait normales face à cette situation. Elle du s’en rendre vite s‘en rendre compte, au vu du regard qu’elle me lança, reposant ses pieds à terre. Je lâchai une plainte, voulant garder le contrôle de la situation, que je perdais peu à peu.. Je m’en rendais bien compte. Heureusement que je n’ai pas l’alcool violent, sinon, j’aurais perdu tout contrôle de moi-même, dans un mauvais sens.

Laissant finalement tomber, je fis un grand sourire lorsqu’elle me fixa avec un regard assez provocateur en me disant que c’était partit, comme un jeu amorce son commencement; La notion de « jeu » que je venais d’employer me fis rire furtivement, car c’était tout à fait adapté à la situation. Nous considérions ces rendez vous comme des sortes de jeux. Jeux d’adultes, ceci dit. Sortant de mes pensées, elle me poussa violemment de façon à me faire tomber à terre, ce qui arriva, ne tenant vraiment plus sur mes jambes. Je tentais de me relever, mais la seule chose que je peu faire fus de me redresser sur les coudes, Sungrin aillant déjà pris place sur moi, à califourchon, ce qui m’excita plus que précédemment, et elle avait vraiment l’air de savoir ce qu’elle faisait car elle se mit à bouger son bassin, sur le mien, ce qui augmenta la chaleur d’encore quelques degrés, moi, je l’observais faire, me mordant l’intérieur de la joue, retenant mes actes, voulant faire durer cet instant le plus longtemps possible. Je me redressai pour la prendre contre moi, embrasser sa délicieuse bouche ainsi que son corps si fin et délicat, mais il n’en fit rien, elle me repoussa, continuant ce qu’elle faisait. Je grognai légèrement de frustration, mais cette frustration se transforme bientôt en plaisir. J’arborais ensuite un petit sourire, reposant ma tête au sol, répondant presque sauvagement à l’assaut de ses lèvres sur les miennes, frissonnant à chaque coup de langue et mordillement, passant et repassant mes mains sur ses bras, les caressant. Je lâcha une nouvelle plainte, voulant reprendre les rênes mais au lieu de ça, elle stoppa net le mouvement de ses hanches sur mon bas ventre, qui devenait maintenant régulier, d’un cou sec, je fermai les yeux, une grimace de plaisir et envie naissant sur mon visage. Se redressant, elle me retira d’une façon très habile mon t-shirt, veillant à ne pas le déchirer, ce qui m’étonnait d’elle, qui avait littéralement et malencontreusement détruit ma chemise lors de la soirée de rentrée..

J’observais et souriais en voyant le visage de Sungrin à la vue de mon torse.. J’y étais habitué, mais, je me suis toujours posé la question. Pourquoi il y a-t-il tant de filles qui fantasment sur mon torse, mon corps tout simplement ? Je suis musclé, c’est vrai, mais, de là à, pour certaines filles de première, se faire une fixette à longueur de temps sur moi et mon « Magnifique corps de Dieu », c’est un peu poussé là. Mais bon, ça me flatte, je ne vais pas les empêcher de fantasmer.. Je vis Sungrin se mordiller les lèvres en regardant celui-ci, le prenait-elle pour une barre de chocolat qu’elle allait dévorer? A mon avis, oui car, se penchant vers moi elle commença à laisser lentement passer sa langue sur mes pectoraux, descendant vers mes abdos puis mon bas ventre, je passais mes mains dans son dos, le caressant, tentant encore une fois une approche en essayant d’attraper le bas de son haut pour le lui enlever, mais elle fut si rapide pour descendre plus bas que je ne parvint à rien, ne serais-ce juste frôler sa douce peau. Ce qu’elle faisait provoquait chez moi de violents frissons, sentant sa langue, entre le chaud et le froid à cause de la bière et de nos précédents baisers, en contraste avec ma peau totalement brulante. Je me tendais de plus en plus au fil des secondes, sentant mon jeans devenir de plus en plus serrant également. Elle se trouvait maintenant à la hauteur de ma ceinture, et posa délicatement sa bouche sur mon entre jambe, à travers la double couche de tissus que formait mon jeans et mon boxer. Heureusement qu’elle remonta rapidement car, je n’aurais plus répondu de mes actes, elle me chauffait là, et plus que d’habitude, ce qui m’intriguais au plus haut point. Mais bon, je n’allais pas le lui reprocher, c’est tout bénéfice pour moi. Bref, je la vis se redresser de moi et me fixer avec un sourire à faire peur, mais je ris doucement, reconnaissant bien la Sungrin que je connaissais. Elle me retira vite fait bien fait mon pantalon, avec mon aide, laissant apparaître la bosse proéminente sous mon boxer, je levais la tête vers elle, un sourire satisfait en coin, elle savait y faire, j’aimais ça. Je la fixais approcher, lentement et me murmurer que c’étais à mon tour. Je souris de nouveau. « A moi de jouer maintenant.. » Je me redressais, me plaçant l’air de rien entre ses jambes, faisant glisser ma main de son genou à sa hanche, remontant à ses côtes, effleurant son corps comme une fleur que l’on s’apprête à cueillir. Oui, je suis doux avec elle, et alors? Je suis peut-être un genre d’homme à femme mais.. Pas au point de les prendre pour des objets non plus. Je repris possession de ses lèvres, l’embrassant plus sensuellement et intensément qu’avant, passant mes mains dans son dos, sous son t-shirt, voulant la faire languir, plus qu’elle ne l’était déjà. Je quittais ses lèvres pour descendre dans son cou, mes mains expertes lui retirant rapidement son haut, le faisant rejoindre le mien, continuant l’ascension de mes lèvres sur son corps. Je jouais vraiment avec elle, voulant la rendre folle, comme elle me rendait fou il y à de ça 5 minutes. Elle se retrouvait alors en soutien gorge, assez mignon, vais-je dire. Je l’allongea, me replaçant au dessus d’elle, mes lèvres descendant de son cou au haut de sa poitrine, que je survolais avant de descendre vraiment très lentement entre ses seins puis sur son ventre plat, que j’embrassais à chaque centimètres parcourus, relevant à chaque fois mon regard vers elle. Je ne pouvais m’empêcher de sourire, la sentant frissonner sous mes baisers, mes caresses, c’était vraiment plaisant. Mes lèvres arrivant rapidement à hauteur de ses hanches, je me redressais légèrement, faisant glisser les bouts de mes doigts sur son buste, décrivant ses courbes fines. Elle était vraiment parfaite.. Je me perdis quelques instants dans la contemplation de ce corps qui n’attendait que moi, qui appelais vraiment le mien. On le voulait tout les deux et on aurait ce qu’on veut, comme à chaque fois.

Je la fixais, mes mains arrivant à son pantalon, que, délicatement, ma bouche ayant retrouvé le contact de sa peau, je détachais, lui retirant aussi habilement que son haut, veillant à ce que mes mains caressent ses magnifiques jambes pour lui procurer de nouveaux frissons. Revenant plus près d’elle, je l’embrassais fougueusement, ma langue se frayant un chemin jusqu’à la sienne, développant le baiser en un baiser passionné et langoureux. A nouveau, je passais mes mains dans son dos, remontant de ses reins à l’attache de son soutien gorge, que je détachai, faisant glisser délicatement des brides de ses épaules. Restant contre elle, je remontais mon visage vers elle, glissant le bout de ma langue dans son cou avant d’arriver à son oreille, dont je mordillais le lobe, avant de murmurer ces quelques mots « Tu est si magnifique, SungRin… ». Mes lèvres reprirent leur descente, venant embrasser sa poitrine si généreuse.

Désolé pour le temps de réponse hein ;-;

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Une fois que j'eus finis de lui donner du plaisir, c'est à dire de lui avoir enlevé ses vêtements, jouant avec son magnifique corps. Jun Ho était juste superbe, et je suis sûr qu'il le savait et s'en servait. Tant mieux. J'aime ça. Je souris lorsque j'enlevai son pantalon, le laissant en boxer devant moi. Une bosse proéminente semblait serré dans le morceau de tissu. Je déposa un bref baiser dessus, souriant toujours de façon aussi perverse. Je me releva vers lui, lui murmurant que c'était à son tour, sous entendu qu'il devait me déshabiller à son tour. Il sourit de nouveau. « A moi de jouer maintenant.. » Je souris aussi lorsque il me poussa, se plaçant entre mes jambes. Il fit glisser sa main de mon genou à ma hanche, créant une multitude de frissons dans tout mon corps. Puis, il remonta à mes côtes, me faisait soupirer d'aise et de bonheur. Il était si doux, ce qui contrastait avec son physique. Beaucoup pensait que Jun Ho était une bête au lit, mais non, pas du tout. Il l'est d'une certaine manière bien entendu, il est bestiale mon Juninie. Mais il avait aussi cette douceur si spéciale en lui qui me faisait fondre. J'aimais ce côté de sa personalité et surtout lors de l'acte. Il n'était pas du genre à ne penser qu'à lui, et tant mieux. Je déteste les hommes qui ne pensent qu'à leur propre plaisir pendant l'amour. Ou le sexe pour certains, appelez cela comme vous voulez. Je fermai les yeux lorsque les lèvres de mon ami touchèrent les miennes, en prenant possession sans attendre. Le baiser était plus sensuelle et sauvage que tout à l'heure et j'aimais ça. Je sentis les mains de Jun Ho se faufiler dans mon dos, passant en dessous de mon T-shirt. Il voulait me faire languir le méchant. Et c'est gagné, j'étais plus qu'excitée, surtout en le sentait contre moi, lui et sa virilité. Il quitta mes lèvres pour descendre dans mon cou, ses mains expertes me retirant rapidement mon haut, le faisant rejoindre le sien. Il continua l'ascension de ses lèvre sur mon corps, créant d'autre frissons en moi. Il voulait jouer comme moi je l'avais fait avec lui, et je comprenait tout à fait. Jouer de cette façon, c'est toujours plaisant, pour les deux. Je me retrouva alors en soutient-gorge, le corps chaud même si j'étais à moitié nue. Il s’allongea sur moi, prenant le dessus. Ses lèvres descendant de mon cou au haut de ma poitrine, qu'il survolait avant de descendre vraiment très lentement entre mes seins puis sur mon ventre plat. Il l'embrassa de partout, me regardant à chaque baisers dans les yeux. Mon dieu, qu'est ce que j'étais excité. Je ne pouvais pas m'empêcher de frissonner sous ses caresses. Ses lèvres arrivèrent rapidement à hauteur de mes hanches, et il se redressa légèrement, faisant glisser ses doigts sur mon buste, retraçant mes courbes féminines. Je souris en le voyant regarder mon corps avec tentation et désir. Bientôt, nous allons être tous les deux perdus dans un plaisir bien connu, mais pourtant toujours aussi bon.

Il me fixait, et je faisais de même. Ses mains arrivèrent à mon pantalon, qu'il détacha sans problème, continuant de d'embrasser ma peau avec sa bouche si chaude. Il me le retira alors habilement, tout comme mon haut plus tôt. Je souris lorsque mon pantalon rejoins le reste de nos vêtements, et Jun Ho en profita pour caresser mes cuisses au passage. Il était vraiment joueur ce soir, je sentais que ça allait être une soirée plus qu'inoubliable. Revenant plus près de moi, Il m'embrassa fougueusement, sa langue se frayant un chemin jusqu’à la mienne. Le baiser devint langoureux, passionné, bestiale. Une nouvelle fois, Il passa ses mains dans mon dos, remontant de mes reins à l’attache de mon soutien gorge qu'il détacha à son tour. Les bretelles tombèrent délicatement sur mes épaules, et je le regarda dans les yeux, avec tout le désir et la provocation possible. Il resta tout contre moi et il remonta son visage vers moi, glissant le bout de sa langue dans mon cou avant d’arriver à mon oreille, dont il me mordilla le lobe,. Puis il murmura ces quelques mots dans ma sois-disante oreille. « Tu est si magnifique, SungRin… ». Ses lèvres reprirent la descente vertigineuse, venant embrasser ma poitrine. Je souris tout en gémissant docilement. Ce n'était pas juste, il était encore en boxer lui, et moi, j'avais la poitrine à l'air. Je descendis alors son boxer avec mes pieds, et ne me demandez pas comment j'ai fais, c'était un exploit. Je souris en apercevant ce qui faisait de lui un homme en pleine forme, puis m'accrochai à ses hanches, profitant toujours de ses baisers dans mon cou. Je retira alors mon dernier sous-vêtement, exposant à mon tour mon intimité. Mais dans ce genre de moment, on s'en foutait carrément d'être prude ou non. Après tout, ce n'est pas comme si Jun Ho ne m'avait jamais vu nue non plus. Au contraire, c'est surement l'homme qui m'a le plus vu dans cette tenue qu'est ma nudité. Je souris tout en reprenant ses lèvres dans les miennes lorsqu'il se décolla enfin de mon cou. Je repris alors position de dominance, assis sur sa virilité. Je souris tout en me baissant, reprenant sa bouche d'assaut. Puis, subtilement, je glissai doucement sur le sexe de Jun Ho. Je fermai les yeux en sentant sa chaleur entrer en moi. Je commença à bouger, lâchant de petits gémissement à chaque coups de reins. Puis, quelques temps après, Jun Ho reprit le pouvoir, relevant mes jambes sur ses hanches pour pouvoir faire des vas et viens plus profonds. Je ferma les yeux, gémissant encore et encore en sentant les coups de butoirs de Jun. "Juuuun Ho, va plus vite !"

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